10 000 Jours sur terre

 F1000001

La queue pour la projection de la version intégrale de Stalker de Tarkovski (mon film préféré de tous les temps) devant le cinéma du Luminor à Paris.

F1000002

F1000003

Fresque de Robert Combas, rue des Haudriettes à Paris

F1000004

F1000005

F1000006

Concert des Moonsters à l’Alimentation Générale  – Paris 11ème

F1000007

F1000008

Octave et Max

F1000009

F1000010

Je suis allée voir l’exposition sur Hervé Télémaque au Centre Georges Pompidou, puis j’ai déambulé une fois de plus, entre les oeuvres de la  collection permanente d’art contemporain…

F1000011

F1000012

F1000013

F1000014

F1000015

F1000016

F1000017

F1000018

F1000019

F1000020

F1000021

F1000022

F1000023

Après avoir commencé mon projet des 100 jours pour l’art, j’ai reçu cette gigantesque boite de 33 kilos recelant un support sur lequel je vais travailler jusqu’au 1er Juin.  Et que ceux qui le désirent pourront découvrir lors d’une exposition collective le 17 Juin à Paris.

F1000024

Le soir du 6 mai, j’ai pris cette photo car cette lumière, ce sol humide m’ont curieusement émus. J’ai ressenti quelque chose de très fort à peine 10 minutes avant de me rendre dans un bar, accompagnée de mon amie Iseult, jeune photographe particulièrement talentueuse qui voulait faire avec moi un test shoot look festival « Coachella » dans la cour d’un bar. J’ai accepté tout en pensant au fond de moi que le temps n’étais pas vraiment propice. Il y avait un vent très fort et il faisait froid. Je portais une robe en soie à fleurs très fine et j’étais frigorifiée. En arrivant dans la cour de ce bar, je n’ai absolument rien compris : il y avait énormément de monde alors qu’on était sensées être que toutes les deux en ce mercredi soir…
Et là, c’était le choc, tous mes amis s’étaient rassemblés pour me faire une surprise pour mes 10000 jours sur terre !!!! Native de fin décembre, je fête rarement mon anniversaire – sinon jamais, et la mesure du temps m’a toujours obsedée (c’est aussi pour cette raison que j’adore l’horlogerie). D’ailleurs, j’avais depuis longtemps calculé la date de mes 10000 jours…  Je savais que c’était ce jour là, mais pour le coup : je n’ai rien vu venir.
J’étais tellement sous le choc que je n’ai pu réaliser que le lendemain matin.
Une forte et belle soirée que je n’oublierai jamais, merci encore une fois à ma véritable amie Carole qui s’est chargée de toute l’organisation et qui a su déjouer mon sens de l’observation !

F1000025

F1000026

F1000028

F1000029

F1000030

F1000033

F1000034

F1000035

Les photos suivantes ont été faites en numérique par mon ami Laurent

10956737_2753835039483_890470393400560278_n

11039877_2753837519545_7651929497855795216_n

Carole et Max

11053663_2753839439593_700153855270197037_n

11140238_2753837279539_5732396805591136422_n

11150989_2753903041183_6115905111565780637_n

11182119_2753833999457_4882797750260933589_n

11196316_2753838319565_6355360260096338442_n

11200805_2753833079434_2989933731162841717_n

11201625_2753834039458_7908614336663661677_n

228583_2753833959456_1700454031244866976_n

11204438_2753838639573_7596870105818770484_n

11206025_2753833359441_2904051450726313521_n

11206105_2753839879604_887852040243321380_n

11210434_2753835479494_4694844932971992049_n

11218697_2753833119435_6169314654455212935_n

11245531_2753839199587_6356513544252611340_n

Pellicule Avril 2015

Je ne saurais jamais l’expliquer, mais pour moi Avril était un mois Suédois. Parce que.

F1000001

F1000002

F1000003

La Rue du Chat-qui-Pêche est parfois présentée comme la rue la plus étroite de la capitale . Située dans le quartier de la Sorbonne dans le 5ème arrondissement, sa largeur est de 1,80 mètre.
Nous l’avons démontré.

F1000004

F1000005

F1000006

F1000007

F1000008

F1000009

F1000010

F1000012

F1000014

F1000015

F1000019

Chez Nick’s Pizza – avec la pizza préférée de Michelangelo, Léonardo, Raphael et Donatello…

F1000020

F1000022

F1000023

F1000024

F1000025

F1000001

F1000002

F1000003

F1000004

Décrochage de l’exposition Cavale de Idir Davaine à la galerie Le Huit – 8 boulevard Saint Martin – 75010 Paris.

F1000006

Concert de Tove Styrke, pop Suédoise au théâtre Les étoiles – 75010 Paris

F1000007

F1000008

F1000009

F1000010

F1000011

F1000012

 

F1000015

F1000016

F1000018

F1000019

F1000020

Institut Suédois – 11 rue Payenne – 75011 Paris

F1000021

F1000022

F1000023

F1000024

F1000025

Mars 2015 – Printemps du cinéma

Arrivée du printemps, Paris reprends des couleurs, ses habitants aussi.
Un mois où nous avons vécu la dernière éclipse solaire de notre vie…

F1000001

Ouverture de la Splendens Gallery – 37 rue Pasquier – 75008 Paris

F1000002

F1000003

Ma douce Noémie

F1000006

Je vais partager un de mes secrets coiffure : à Paris avec le rythme de vie que je mène, je n’arrive tout simplement jamais à avoir un rendez-vous chez le coiffeur. En cherchant sur internet un coiffeur de nuit, j’ai découvert une superbe adresse : Night Hair Cut, c’est un petit bar vers Bastille, qui cache à l’étage ce charmant, talentueux et créatif coiffeur Ulises Benito. C’est certainement la première fois que je me suis sentie aussi choyée et écoutée par un coiffeur, sans regarder la montre. Samedi soir, petit cocktail à la main, je me suis sentie comme une reine. Vraiment si il y a une adresse coiffure à retenir c’est celle-ci !

F1000007

Cette année, j’ai eu la chance dans mon travail de m’occuper de la communication digitale du Printemps du Cinéma. Et c’est avec un immense plaisir que j’ai rencontré le vlogger cinéma Durendal. Ses vidéos : on les aime ou pas, il est assez clivant d’après ce que j’avais analysé sur internet. Pour ma part, je n’avais pas vraiment d’aprioris. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en rencontrant un Youtubeur. Mais j’ai été très agréablement surprise ! Je ne pensais pas rencontrer quelqu’un d’aussi sensible, sincère et attachant ! Belle rencontre du mois de Mars !

F1000009

F1000010

F1000011

F1000012

F1000015

Cette charmante brune aux yeux verts c’est Déborah, ma collègue de bureau chez Premium qui s’occupe de tous les projets cinéma et avec qui j’ai eu la chance de travailler pour le Printemps du Cinéma. Toujours de bonne humeur et souriante, c’est toujours un plaisir de travailler cote à cote.

F1000016

F1000017

F1000019

F1000018

F1000020

F1000021

F1000023

H&M loves Paris Fashion Week

J’ai toujours eu de la chance aux concours, j’ai déjà gagné un fixie avec levi’s, une tablette graphique, des places de concerts, des abonnements et je ne sais quoi encore !
Encore jamais gagné de voyage, mais ça ne saurait tarder…
De fait, dès que je vois un concours, j’y participe par principe !
Pour cette pellicule, j’étais la grande gagnante France du concours H&M loves fashion week (et je promets de ne connaitre personne dans l’organisation !).
Du coup, pour moi et mon accompagnante Carole, on a eu la totale : coiffure, make-up, personal shoppers, carte cadeau pour s’habiller pour la soirée et un chauffeur privé qui nous a emmené au Grand Palais pour voir le défilé.
Le défilé était ouvert par la fabuleuse Caroline de Maigret aux platines dans une ambiance lunaire.
Il y avait toutes les tops sur le catwalk, mademoiselle Agnès, et bien d’autres…
Belle soirée qui mérite un petit article ! Et merci à la chance ! (et h&m bien-sûr)

F1000002

F1000004

F1000008

F1000010

F1000013

F1000014

F1000015

F1000016

F1000017

F1000018

F1000019

F1000020

F1000023

A partir de là, c’est les photos numériques de H&M :

  IMG_5035  

IMG_5040

IMG_5046

IMG_5501

IMG_5502

Prague en carton-pâte

Jamais je ne pensais tomber sur une ville aussi austère et froide que Prague, en République Tchèque. Avant la fashion week de Paris, fin Mars j’ai décidé de plier bagage et partir un week-end seule afin de me couper du travail. Etre connectée 24/24 sur mon téléphone, je n’en pouvais plus : J’avais besoin de la fameuse « Digital détox » et c’est ce que j’ai fait. Sur un coup de tête, j’ai utilisé un logiciel de tirage au sort automatique, j’y ai rentré les destinations les plus attractives de Lastminute, et les billets étaient bookés le mercredi pour partir le vendredi soir.
Si j’ai appelé ce post « Prague en carton-pâte », c’est vraiment parce que j’ai eu l’impression d’avoir passé 3 jours dans un décor de film, avec des figurants totalement antipathiques, froids et austères.
Cette ville, pour moi, c’est se plonger dans le livre de Kafka « le Château ».
Pour ceux qui l’ont lu, l’atmosphère qui règne dans ce livre est celle que j’ai ressentie tout le long de mon séjour. J’avais l’impression d’être dans le corps de K., l’étranger qui arrive dans un village où la population n’a guère envie d’être dérangée.
Mon avion avait 2 heures de retard, je me suis perdue dans le métro, j’ai pris un taxi et je me suis fait arnaquer comme une vraie touriste alors que le conducteur avait l’air agréable et me parlait même en russe. Je me suis jamais sentie aussi mal à l’aise en mangeant seule au restaurant, j’ai beaucoup marché, médité sur ma vie, et je ne regrette rien car j’ai quand même énormément apprécié l’architecture gothique de cette ville. D’ailleurs, afin de compenser la morosité ambiante du séjour, je me suis offert un vrai shot culturel : j’ai vu le Ballet de Tchaïkovski « Le lac des Cygnes » à l’Opéra, « Les quatre saisons de Vivaldi », Pachelbel, Brahms et Sarasate en concert.
Cerise sur le gâteau pour mon départ, histoire de marquer le coup : je me suis offert un petit musée de la torture histoire ne ne jamais oublier l’angoisse de cette ville.

F1020001

Et dire que je pensais au décollage que les tchèques avaient un certain humour…

F1020002

Vue de ma chambre d’hôtel. Charmant.

F1020003

F1020004

F1020005

F1020006

F1020007

F1020008

F1020009

F1020010

F1020011

F1020012

F1020013

F1020014

F1020015

F1020016

F1020017

F1020018

F1020019

Ma seule photo à Prague  afin de contrer le  « Pics or It Didn’t Happen »…
Par contre, j’ai remarqué que les gens n’ont vraiment plus l’habitude des appareils photos avec pellicule. Sans écran, ils sont incapable de cadrer les pieds !

F1020020

F1020021

F1020022

Génération « selfie stick », sans honte aucune.

F1020023

F1020024

F1030001

F1030002

F1030003

F1030004

F1030005

F1030006

F1030007

F1030008

F1030009

F1030010

F1030011

F1030012

F1030014

F1030015

F1030016

F1030017

F1030018

F1030019

F1030020

F1030021

F1030022

Probablement le meilleur repas du mois avec Goulash et brochette marinée, arrosé de la meilleure bière du monde.

F1030023

F1030024

F1030026

F1040001

F1040002

F1040003

F1040004

F1040005

F1040006

F1040007

F1040008

F1040009

F1040010

F1040011

F1040012

F1040013

F1040014

F1040015

Le mur Lennon à Prague. Pour anecdote, John Lennon n’a jamais mis les pieds à Prague.
C’est surtout une petite attraction touristique où tout le monde fait la queue pour prendre des photos cool devant le tag de « Nirvana » ou « Pink Floyd, the wall ».
C’est aussi  le lieu de résidence d’un tchèque bien intentionné qui a trouvé le meilleur filon pour gagner de sa croute. Il passe sa journée à jouer et chanter des chansons des Beatles en roulant les « R » et au vue de sa coupelle, il se fait un bon paquet.

F1040016

F1040017

F1040018

F1040019

F1040020

F1040021

L’horloge astronomique de Prague (Pražský orloj) fait aussi partie du patrimoine majestueux et morbide de Prague. En effet, pour le coup, la légende veut que l’on ait crevé les yeux à l’horloger Hanus, son créateur, afin de l’empêcher de reproduire son chef-d’œuvre ailleurs. Glauque.

F1040022

F1040023

F1040024

F1040025Le cimetière juif de Prague se trouve dans le quartier de Josefov,  il était en fonction de 1478 à 1786 soit 3 siècles durant ! J’ai pris la photo à travers un trou dans le mur car le cimetière était fermé.
Apparement le nombre exact de pierres tombales et de morts enterrés est imprécis car il y a parfois plusieurs couches de tombeaux, mais il est estimé à douze mille tombes pour un minuscule espace comme celui-ci…

Janvier 2015 Charlie

Presque deux mois après les attentats perpétrés le 7 Janvier 2015 contre Charlie Hebdo – on a l’impression que ce patriotisme héroïque dont les français ont fait preuve début janvier est retombé comme un soufflé raté. A part quelques tags encore non recouverts, de restes de mémoriaux sur quelques places publiques de Paris et 2,3 photos de profils facebook « je suis charlie » inchangées – plus personne n’en parle. A en croire que c’est devenu tabou.
Curieusement, le sujet n’est plus au rendez-vous au comptoirs des cafés, ni aux bancs des petits vieux, ni dans les chansons, ni dans la presse. Effacé. Les gens ont repris leur rythme et se sont souvenus de leurs problèmes individuels. La vie reprend et chacun semble à l’aise avec un nouveau début d’année. Quoi penser ? Chacun son histoire. Pour ma part je continue à prendre la vie en photo et cette pellicule en retard pourra peut-être raviver quelques sentiments et faire relativiser certaines situations dans le coeur des lecteurs.

F1000001
 
F1000004

F1000005

F1000006

F1000008

F1000009

F1000010

F1000011

F1000012

F1000013

F1000014

F1000015

F1000016

F1000017

F1000018

F1000019

F1000020

F1000022

F1000024

Concert d’Octave et son groupe Callas Tebaldi à la mécanique ondulatoire.

F1000025

F1000028

F1000029

F1000030_B

F1000032_B

F1000033_B

F1000034_B

F1000035_B

F1000036_B

Merci 2014

2014 : L’année où j’ai vraiment appris à dire : Merci.

J’avais prié depuis des années et chaque jour afin de pouvoir faire une année juste pour moi, au jour le jour. Vivre sans penser au lendemain : faire de la peinture, de la photographie, du skate et de la musique. Partir à l’étranger, apprendre l’anglais, croire de nouveau à l’amour, avoir du temps (du vrai) pour mes amis, en rencontrer des nouveaux aussi. Découvrir de nouvelles passions comme l’horlogerie par exemple.

En Janvier, c’était si mal parti : plus de job, plus d’espoir, des dettes par dessus la tête. Mais j’ai su me relever, grâce à vous mes amis : les nouveaux, les anciens, ceux d’internet. Tous.
Je voudrais dire merci à chacun de vous ainsi qu’aux lecteurs assidus du blog. Merci, merci, merci !

Merci à Antonin avec qui j’ai pu faire une exposition de peinture, merci à ceux qui m’ont encouragé à créer chaque jour. Merci à tous ceux qui m’ont soutenu pour mon blog.
Merci encore un milliard de fois à ceux qui ont aidé ma mère en avril lorsque nous avions perdu mon oncle en Russie. Jamais je n’aurai cru que j’aurai des amis aussi géniaux dans ma vie !

Merci à  Margaux de m’avoir accueillie à Londres, à Clare de m’avoir hébergé à Portsmouth. A tous mes professeurs d’anglais, à Olayinka Oluseyi Akinola Johnson qui m’a fait retrouver la foi.

Merci de m’avoir encouragé quand je ne croyais plus en moi, et merci à tous ceux qui me font confiance. En apprenant à dire merci chaque jour de sa vie, on attire à soi toutes les choses positives et toute situation que l’on rêve. Alors dites : merci.

F1000001_B

F1000002_B

F1000008_B

F1000007_B

Le soir du 31 décembre, nous avons fini la nuit au restaurant « Au pied de Cochon » ouvert 7/7 – 24h/24 – Si il y a une adresse à retenir en cas de fringale nocturne à Paris, c’est bien celle-là.

F1000005_B

F1000004_B

F1000010_B

F1000012_B

F1000013_B

F1000014_B

F1000015_B

F1000016_B

F1000017_B

F1000018_B

F1000019_B

F1000020

F1000021_B

F1000022_B

F1000023

Par respect et représentation de notre génération Y, Noémie et moi nous nous sommes rencontrées par mention @ sur instagram. Jeremy avait trouvé que nous avions beaucoup en commun, puis une mention sur instagram, mille échanges écrits et surtout un vrai coup de foudre amical !
Vivre avec son temps (digitaaaaaal!) permet aussi de vivre belles rencontres hasardeuses.

F1000024_B

F1000025_B

F1000027_B

F1000029_B

F1000030_B

F1000031_B

 F1000033_B

Décembre avec Andy Warhol

J’ai toujours eu une opinion mitigée concernant Andy Warhol – même après avoir lu sa biographie et de nombreux ouvrages à son sujet – le doute planait.
Puis un jour de décembre, en nageant dans l’océan internet – par sérendipité – je suis tombée sur cette citation de Shirley Temple : « J’ai compris que le Père Noël n’existait pas quand j’avais 5 ans. Je suis entrée dans un grand magasin et il m’a demandé un autographe.« 

Je savais qu’Andy était un fervent admirateur de Shirley et par association – j’ai décidé de me soulager enfin la conscience et me positionner à son sujet : J’ai décidé de ne pas aimer Andy Warhol. Je respecte son oeuvre, mais son personnage.
Sa liaison passionnelle avec l’argent, son matérialisme, sa relation ambigue avec sa mère, ses caprices, sa soumission face aux autres créateurs… Tout cela me faisait froid dans le dos.

C’était un visionnaire certes – mais malgré lui. Son caractère reflète bien ce que nous sommes – ma génération et moi en 2015 : des nombrilistes américanisés, poseurs et impudiques.

Et oui, nous sommes tous des Andy Warhol bouffant des hamburgers seuls derrière nos écrans.
Et c’est bien pour cette raison que son personnage m’a tant intrigué et pourquoi je ne l’aime pas : « On voit la paille dans l’oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien ».
Pour conclure : Andy Warhol je t’aime bien au fond, tu nous fais remuer au dessus de ta tombe sans inscription.

Car à la fin de ta vie, tu as bien fini par comprendre ce que nous sommes vraiment : des anonymes.

F1000001_B

Collier d’une serveuse dans un restaurant Thai.

F1000003_B

F1000004_B

F1000005_B

Soirée Seiko avec une heure de découverte sur la fabrication horlogère des mécanismes au Japon.

F1000007_B

F1000008_B

Nous avons fêté l’ « Avent » Suédois chez Micha et Pierre – la tradition veut que chaque dimanche précédent Noël, se réunissent les amis pour boire du vin chaud Suédois (le Glögg) et des pâtisseries traditionnelles Suédoises (des Kanelbullar – juste à coté des Gingerbread sur la photo confectionnés par la talentueuse Carole) et des Pepparkakor. Quatre bougies portant les numéros correspondant au numéro du dimanche précédant Noël  (pour l’occasion, nous avons allumé les 4 d’un coup !).

F1000009_B

F1000010_B

F1000011_B

F1000012_B

F1000013_B

Pour mon anniversaire (le 19 décembre) j’ai reçu un magnifique chaton Persan-chinchilla par Jeremy. Nous l’avons appelé « Vania » (Diminutif d’Ivan en russe – en référence à Tchekhov (Oncle Vania) mais aussi certains personnages des romans de Dostoïevski que Jeremy affectionne particulièrement)

F1000016_B

F1000018_B

F1000017_B

A l’agence Premium Models, où j’ai été invitée pour le repas de Noel (Raclette, charcuteries et autres victuailles royales au menu)

F1000019_B

Magalie, Charlotte et Déborah, mes actuelles et souriantes collègues de chez Premium Events.

F1000021_B

Le booking de Premium Models devant le mur de composites des mannequins femme.

F1000022_B

Deux mannequins de Premium Models.

F1000023_B

Nicolas, mon ancien collègue à l’agence de mannequins où j’avais travaillé pendant 3 ans – on s’est retrouvés au brunch de Noël de chez Premium car il est devenu directeur de casting indépendant. Mais avant tout et avant d’être collègues : c’est d’abord un ami.

F1000026_B

F1000028_B

F1000029_B

F1000030_B

F1000032_B

F1000035_B