Janvier 2015 Charlie

Presque deux mois après les attentats perpétrés le 7 Janvier 2015 contre Charlie Hebdo – on a l’impression que ce patriotisme héroïque dont les français ont fait preuve début janvier est retombé comme un soufflé raté. A part quelques tags encore non recouverts, de restes de mémoriaux sur quelques places publiques de Paris et 2,3 photos de profils facebook « je suis charlie » inchangées – plus personne n’en parle. A en croire que c’est devenu tabou.
Curieusement, le sujet n’est plus au rendez-vous au comptoirs des cafés, ni aux bancs des petits vieux, ni dans les chansons, ni dans la presse. Effacé. Les gens ont repris leur rythme et se sont souvenus de leurs problèmes individuels. La vie reprend et chacun semble à l’aise avec un nouveau début d’année. Quoi penser ? Chacun son histoire. Pour ma part je continue à prendre la vie en photo et cette pellicule en retard pourra peut-être raviver quelques sentiments et faire relativiser certaines situations dans le coeur des lecteurs.

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Concert d’Octave et son groupe Callas Tebaldi à la mécanique ondulatoire.

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Décembre avec Andy Warhol

J’ai toujours eu une opinion mitigée concernant Andy Warhol – même après avoir lu sa biographie et de nombreux ouvrages à son sujet – le doute planait.
Puis un jour de décembre, en nageant dans l’océan internet – par sérendipité – je suis tombée sur cette citation de Shirley Temple : « J’ai compris que le Père Noël n’existait pas quand j’avais 5 ans. Je suis entrée dans un grand magasin et il m’a demandé un autographe.« 

Je savais qu’Andy était un fervent admirateur de Shirley et par association – j’ai décidé de me soulager enfin la conscience et me positionner à son sujet : J’ai décidé de ne pas aimer Andy Warhol. Je respecte son oeuvre, mais son personnage.
Sa liaison passionnelle avec l’argent, son matérialisme, sa relation ambigue avec sa mère, ses caprices, sa soumission face aux autres créateurs… Tout cela me faisait froid dans le dos.

C’était un visionnaire certes – mais malgré lui. Son caractère reflète bien ce que nous sommes – ma génération et moi en 2015 : des nombrilistes américanisés, poseurs et impudiques.

Et oui, nous sommes tous des Andy Warhol bouffant des hamburgers seuls derrière nos écrans.
Et c’est bien pour cette raison que son personnage m’a tant intrigué et pourquoi je ne l’aime pas : « On voit la paille dans l’oeil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien ».
Pour conclure : Andy Warhol je t’aime bien au fond, tu nous fais remuer au dessus de ta tombe sans inscription.

Car à la fin de ta vie, tu as bien fini par comprendre ce que nous sommes vraiment : des anonymes.

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Collier d’une serveuse dans un restaurant Thai.

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Soirée Seiko avec une heure de découverte sur la fabrication horlogère des mécanismes au Japon.

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Nous avons fêté l’ « Avent » Suédois chez Micha et Pierre – la tradition veut que chaque dimanche précédent Noël, se réunissent les amis pour boire du vin chaud Suédois (le Glögg) et des pâtisseries traditionnelles Suédoises (des Kanelbullar – juste à coté des Gingerbread sur la photo confectionnés par la talentueuse Carole) et des Pepparkakor. Quatre bougies portant les numéros correspondant au numéro du dimanche précédant Noël  (pour l’occasion, nous avons allumé les 4 d’un coup !).

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Pour mon anniversaire (le 19 décembre) j’ai reçu un magnifique chaton Persan-chinchilla par Jeremy. Nous l’avons appelé « Vania » (Diminutif d’Ivan en russe – en référence à Tchekhov (Oncle Vania) mais aussi certains personnages des romans de Dostoïevski que Jeremy affectionne particulièrement)

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A l’agence Premium Models, où j’ai été invitée pour le repas de Noel (Raclette, charcuteries et autres victuailles royales au menu)

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Magalie, Charlotte et Déborah, mes actuelles et souriantes collègues de chez Premium Events.

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Le booking de Premium Models devant le mur de composites des mannequins femme.

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Deux mannequins de Premium Models.

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Nicolas, mon ancien collègue à l’agence de mannequins où j’avais travaillé pendant 3 ans – on s’est retrouvés au brunch de Noël de chez Premium car il est devenu directeur de casting indépendant. Mais avant tout et avant d’être collègues : c’est d’abord un ami.

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Lost in November

Déjà fin Janvier 2015 et Novembre 2014 semble être enfoui dans une dimension parallèle…
Souvent, lorsque je me balade au hasard des traboules sombres de ma cervelle, j’essaie toujours de me situer à un moment précis de ma vie et essayer d’analyser ce que j’aurais pu penser à ce moment là – si on m’avait présenté un Polaroid de ma situation actuelle. Un vrai mindfuck cette dernière phrase (néanmoins les connaisseurs apprécieront).

Novembre,
Oui, je rentre de Stockholm le coeur rempli de mélodies de The Knife et vivant au jour le jour.
En soirée, les amis qui me présentent ont toujours ce silence confus avant de prononcer la phrase miracle et fourre-tout : « Alena, c’est une artiste« .
A Paris, le statut social est important – sans quoi deux inconnus ont du mal à lancer une conversation. « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? »  « Tu fais quoi dans la vie?« . Cette farce phrase qui revient si souvent dans les conversations mondaines. En toute honnêteté, il y a quelques années j’étais carriériste – maintenant j’aime juste que le travail soit bien fait, irréprochable. Ce détachement m’a permis d’avancer, bien plus que je n’aurais pu l’espérer. La fin de mon année de liberté approchait, je n’étais pas stressée, juste perdue, d’où le titre de l’article. Je ne savais pas vraiment où je devais aller, où je me sentais réellement confortable. J’avais commencé à envoyer mes CV aux galeries d’art, rencontrer les directeurs de galeries – mais ce milieu ne m’a pas mis à l’aise. J’ai presque trouvé que c’était avant tout du business et de la poudre aux yeux. Alors je me suis orienté vers l’art plus « humain » comme les associations qui aident la réinsertion sociale par le biais de l’art. Des emplois « tremplins » comme on les appelle. Je n’ai pas sauté bien haut. Et au fond je n’étais pas du tout pressée. J’ai continué à vivre avec mes vaches maigres et mon détachement. La liberté a son prix mais elle a aussi une fin.
Pour ma part, c’est une fin heureuse : un coup de fil une après-midi, une douzaine d’heures  d’entretiens et me voilà de nouveau sur les rails de la Fashion Industry. (La #FI pour le running-gag et les intimes qui me suivent depuis longtemps.) Et là, je prends le Polaroid de ma vie actuelle (ou #selfie, faut vivre avec son temps), et je le tends à « l’artiste » détachée de Novembre 2014 et je lui demande son avis.
Avis – qui restera à la discrétion de l’individu concerné.

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Génération #instafood.

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Entre deux entretiens et dans ma vague de ma passion horlogère,  j’ai aidé un artiste « sculpteur du temps » sur le salon Belles Montres à Paris. C’est Thierry de « Passion Horlogère » qui nous a mis en relation et c’était une expérience dans le thème du post : Hors du Temps.
Je vous invite chaleureusement à découvrir les oeuvres d’Alainpers sur son site, il a une perception vraiment intéressante et enrichissante du temps.

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J’ai connu Julien il y a presque dix ans maintenant. Nous étions des inconnus, et je ne sais pourquoi je l’avais invité à l’époque me rendre visite quelques jours à Valloire lorsque j’étais serveuse en saison d’été dans cette station-village. Nos discussions étaient sans fin, et elles le sont toujours : géopolitique, sociologie, regard sur le monde… Puis on s’est toujours suivis de près ou de loin au travers des villes et du temps après notre rencontre au coeur de la Maurienne. Chambéry, Lyon et maintenant Paris.

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Toujours fidèle aux Oliver Peel sessions – qui organise des concerts intimistes en appartement.
J’en ai déjà parlé dans ma pellicule de Mars 2014 – avec  Frida Hyvönen.

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La magnétique Clara Luciani du groupe Hologram.

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The Knife à Stockholm

La première fois que j’ai entendu The Knife, c’était en avril 2007. J’étais alors en première année d’école de communication et j’effectuais mon premier stage à l’entreprise dans le département marketing à l’office de Tourisme de Méribel.
J’ai rarement la mémoire des dates – mais cet instant – je le revis à chaque fois lorsque j’y pense. En effet, je suis assez difficile dans mes préférences musicales, et il est vraiment rare qu’une musique puisse me saisir, me pétrifier et arrêter le cours du temps lorsque je l’entends. The Knife, le live d’Heartbeats (reprise de José Gonzales) m’a fait cet effet.

Méribel, au coeur des trois vallées, est une station très cosmopolite, les saisonniers sont avant tout anglophones et la langue anglaise y est presque officielle. Beaucoup d’anglais, d’australiens y viennent tous les ans et s’y retrouvent, enclavés et isolés dans une sorte de seconde résidence au coeur des alpes. A l’époque, je ne parlais pas très bien anglais, mais pour ceux qui ont vécu les « saisons », ça ne pose jamais un vrai problème. Je ne me rappelle absolument pas comment on communiquait, mais tout le monde se retrouve à droite à gauche dans les chalets et appartements de saisonnier minuscules et on finit toujours par trouver une langage commun autour d’un petit verre, une guitare ou d’une playlist.

Un soir, j’étais avec mon amie russe Maria, et nous avons atterri dans un minuscule appartement de peut-être 15m2 où 8 saisonniers vivent ensemble empilés sur 3 lits superposés et matelas par terre. L’un d’eux, Lee Dobson, un saisonnier néo-zélandais, qui enchainait l’hiver de la Nouvelle-Zélande avec l’hiver français, était en extase devant un groupe et voulait absolument nous le faire découvrir. Et il me met la chanson criminelle : celle qui va me faire adorer the Knife et m’envoyer en Stockholm 7 ans après, pour le dernier des derniers concerts du collectif à Stockholm.
Une sorte d’effet papillon lorsqu’on y pense : qui aurait pu croire qu’une simple soirée entre une dizaine de personnes qui se comprennent à peine puisse me transporter en Suède 7 ans après ? La magie du destin.

Quand j’ai appris la séparation du groupe dans l’interview de Dazed and Confused il y a 3 mois : j’étais atterrée. Et Jeremy a pris les devants et m’a envoyé le plus beau cadeau du monde : une place pour leur dernier concert, chez eux à Stockholm.


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Notre pied-à-terre Airbnb : une décoration très « lagom« , super bien situé et gigantesque.
Si vous voulez le contact – notre hôte Isabelle était formidable, je vous donnerai son mail !

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The Knife – Shaking the habitual Tour

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La gentillesse et l’hospitalité des suédois est une chose qui m’a frappé lors de notre séjour à Stockholm. La population est bien moins nombreuse que dans d’autres capitales et les gens prennent le temps au quotidien. En les observant interagir entre eux, ils ont toujours un mot gentil, une attention, du respect les uns envers les autres. Il n’y a pas de stress ambiant et même au supermarché, les caissiers prennent ne serais-ce que trente secondes pour parler à chaque client, sourire et plaisanter.
C’était vraiment agréable à voir, et lorsque nous étions concernés – nous nous sommes vraiment sentis bien accueillis.
A la sortie du concert, nous avons rencontré quelques fans, qui nous ont instantanément proposé de les suivre boire un verre dans le centre de Stockholm; nous avons fait la connaissance de Maria, Sofia et leurs bande d’amis et nous avons évidemment gardé contact.

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Maria et Sofia.

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Sur la recommandation d’Isabelle, notre hôte Airbnb, nous sommes allés déjeuner dans un restaurant végétarien (Hermans) – où tout était libre service. Un buffet quoi. Le restaurant est situé sur une falaise ce qui donne une vue magnifique sur la ville. Nous sommes restés au restaurant jusqu’à la tombée de la nuit, je recommande cet endroit à quiconque s’arrête à Stockholm

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Instax – Fête aux Tuileries – Juillet 2014

La Fête des Tuileries est la seconde plus grande fête foraine parisienne après la Foire du Trône, cette année elle fête ses 30 ans !
C’était une occasion d’y faire un tour et s’y amuser comme deux grands enfants. J’ai pu y gagner le gros champignon de Mario à l’attrape-nigaud le plus connu de l’histoire : Le jeu de la balle dans le seau incliné. Seau, qui a un fond bombé et qui fait ressortir n’importe quelle balle qui y rentre. J’ai trouvé une vidéo après coup, qui explique cette petite arnaque de fête foraine, mais il y a une astuce – mais il faut beaucoup d’adresse et surtout… beaucoup de chance !
Ce qui explique aussi la tête dépitée de celui qui m’a remis le lot.

 

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Pellicule oubliée – JUIN III

Une pellicule retrouvée datant probablement de début Juin 2014 avec :
– Un tour sur la péniche Kia Cabana installée sur la seine pour la coupe du monde avec Laurie et Carole
– Un cocktail avec mon paparazzi préféré Foc Kan
– Des marseillais à Paris
– Une exposition d’eaux-fortes d’Isabelle – une amie d’Antonin, le poète.
– Le concert de Callas Tebaldi aux Saint-Pères avec Max
– Et enfin, la présentation du concours Talents Nomades de Fujifilm à la Cartonnerie.

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São Paulo, Paris sur Seine.

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Avec Foc Kan préféré.

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Carole et Laurie, des attachées-presse d’une valeur inestimable.

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Camille et Antonin à l’exposition d’eaux-fortes d’Isabelle.

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 Au concert d’Octave et son groupe Callas Tebaldi

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Un Brunch au Blackburn Coffee, vers le Slendid à Paris : une belle découverte !

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 Jeremy à la présentation du concours Talents Nomades de Fujifilm France à la Cartonnerie.

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Portsmouth – Juin 2014

Début Juin, je suis partie une semaine à Portsmouth dans le cadre d’une formation intensive en anglais. J’étais logée et nourrie chez Clare, une dame formidable : institutrice en école, passionnée par le chant, le théâtre et le cinéma.
J’ai aussi appris plus tard dans mon séjour qu’elle adorait la photographie,  j’ai vu des clichés qu’elle a réalisé en noir et blanc de New York et ils m’ont beaucoup marqué.
Au premier jour, je fus surprise de ne pas être seule reçue dans la famille, une autre fille, Sonja, une allemande d’une dizaine d’années mon ainée, a été envoyée par son entreprise pour une formation intensive également. Très gentille et agréable, mais un peu bavarde – monopolisant la plupart des conversations – ce qui m’a un peu freiné pour m’exprimer tout au long du séjour.
Nous étions ensemble dans le groupe et en classe à LSI Portsmouth (Language Specialists International) à raison de 7 heures par jour. Mais le pire du séjour (et probablement depuis bien longtemps) : à mon arrivée à Portsmouth, un orgelet à surgi sur mon oeil droit, et puis s’est transmis au gauche et puis s’est retransmis au droit. L’enfer. J’ai probablement vu toutes les pharmacies de la ville, cliniques et hôpital, le tout pour que tous mes interlocuteurs me disent qu’il faut soigner ça avec des compresses d’eau chaude. Et pas d’antibiotiques. (Ce qui était totalement faux, puisque – rentrée en France, c’est la première chose qui m’a été donné en pharmacie). J’ai vu trouble tout le long de mon séjour, et je me suis sentie totalement vulnérable, sans maquillage, les yeux gonflés et comme remplis de sable. Ce fut néanmoins une bonne expérience quant à l’humilité et la confiance en soi.

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J’avais demandé à être dans une famille végétarienne et Clare cuisinait vraiment très bien, les saucisses sont sans viande.

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 Sonja, l’élève Allemande logée avec moi et Clare la maitresse de maison

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Le premier pudding d’été que j’ai gouté dans ma vie (j’ai gardé la recette que je fournirai plus tard sur le blog) !

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Le théâtre de Portsmouth et dont Clare s’occupe en partie.

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J’ai participé au maximum d’activités sociales proposées par LSI, afin de parler le maximum en anglais. Des bars-concerts, des restaurants, des sorties, etc.

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Mark, mon professeur d’anglais Business avec un humour british comme nous l’aimons tous.

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J’ai vécu la célébration du D-Day sur place, c’était vraiment impressionnant

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Frédéric un français de mon groupe aussi envoyé en séjour linguistique par son entreprise et Sonja ma « coloc ».

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Alexander un compatriote russe de mon groupe, le seul à m’avoir soutenu moralement avec mes orgelets.

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Peter, mon professeur d’anglais général, que j’ai vraiment adoré. Pédagogue, organisé et patient, c’est certainement le professeur que j’aurai rêvé d’avoir dans mes années Collège-Lycée. (L’une des seules photos où on voit pas trop mes yeux défigurés)

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On m’a expliqué que les fun fair sur l’océan étaient typiques sur la côte britannique, je suis allée m’y perdre le dernier jour à Portsmouth.

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Les soirées de Bernadette

Difficile de choisir des thèmes de soirées à Paris lorsque tout a déjà été fait et refait, pourtant Vianney a réussi à innover ! Le thème « Hôpital Psychiatrique », un des meilleurs thèmes pour laisser s’exprimer t.o.c  et psychoses le temps d’une soirée.
Bernadette, mon double maléfique a eu enfin son instant de liberté tant désiré.

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Bernie dans toute sa splendeur

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Jeremy et Vianney

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Bernadette est un peu maniaque et autoritaire : elle aime que les cheveux de ses amis soient toujours bien brossés.

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Marco, un normalien curieusement parachuté à cette soirée

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J’ai rencontré Vianney pour la première fois lors de mon vernissage d’aquarelles au 16 Tholozé à Montmartre, Laurent m’avait parlé de Vianney auparavant car il appréciait déjà mes oeuvres avant que l’on se rencontre. En particulier – celles que j’avais proposées pour une exposition collective en novembre 2013 (et organisée par Cédric Jouvin) où j’avais donné ma vision sur le thème du suprématisme. Le contact est passé tout de suite ! Et l’anecdote de l’histoire c’est que Vianney connaissait Jeremy et ses amis – de son côté, hasard ou destin – au lieu du métro – notre rencontre avec Jeremy aurait pu se produire à cette soirée.

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Edouard et Elga

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Bernie est aussi mégalomane, elle n’a pas hésité à peindre son autoportrait sur la porte.

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Laurent et son double (aussi)

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