Art Fair 2014 au Grand-Palais, les hôtesses Ideat portaient la réplique de la robe Mondrian de la collection haute couture automne-hiver 1965 de Yves Saint Laurent.
Jérémy
Art Fair 2014 au Grand-Palais, les hôtesses Ideat portaient la réplique de la robe Mondrian de la collection haute couture automne-hiver 1965 de Yves Saint Laurent.
Jérémy
Je suis montée sur les toits de Paris, rencontré un écrivain à Voltaire, vu la première rétrospective de Mapplethorpe au Grand Palais, croisé un ancien mannequin de l’agence, vendu mon auto-portrait et tiré le tarot avec un bouddhiste.
Max devant une des mes toiles de 2012.
Un soir, le quai du métro de Voltaire était vide, j’en ai profité pour sortir mon trépied que j’ai toujours sur moi au cas au je reprendrai la troisième saison de mon projet Forever Alone In Paris sur un coup de tête… Je m’apprêtais à prendre un auto-portrait lorsqu’un inconnu est arrivé sur le quai. Il portait des Dr. Martens – moi aussi – alors je lui ai demandé de poser avec moi sur la photo. Jérémy est journaliste, il écrit des articles pour Technikart, Gonzai et soundofviolence. Il me dit qu’il écrit un livre. On parle de littérature, d’art et on décide de finir la discussion dans un bar sur les Grands Boulevards. A la fin de la soirée, on décide d’aller voir la rétrospective de Mapplethorpe ensemble le lendemain.
Avec Max, musicien des Pirates of Neptunes, on aime bien se faire des après-midi mystiques, à refaire le monde, parler de bouddhisme… et cette fois-ci nous avons été curieux de savoir ce que le hasard du tarot allait nous révéler…
Promesse due, promesse tenue : Avec Jérémy nous sommes allés voir la rétrospective de Mapplethorpe ensemble. Nous en avons même profité pour visiter l’Art Fair 2014 dans la nef du grand palais au passage.
Lorsque nous sommes sortis du Grand-Palais, j’ai croisé Sophie-Jo et son ami Blu qui est photographe. Sophie-Jo vient de Séoul, c’est une mannequin que l’on représentait à l’agence où je travaillais avant.
Mon amie Maryline est l’heureuse propriétaire d’un de mes auto-portraits que j’avais exposé au 16 Tholozé à Montmartre. Cet autoportait se présente sous la forme d’un dyptique – dont la deuxième partie n’est pas sur la photo (secret professionnel). Cette toile fut pour moi la catharsis d’une relation passionnelle avortée il y a tout juste un an.