Lost in November

Déjà fin Janvier 2015 et Novembre 2014 semble être enfoui dans une dimension parallèle…
Souvent, lorsque je me balade au hasard des traboules sombres de ma cervelle, j’essaie toujours de me situer à un moment précis de ma vie et essayer d’analyser ce que j’aurais pu penser à ce moment là – si on m’avait présenté un Polaroid de ma situation actuelle. Un vrai mindfuck cette dernière phrase (néanmoins les connaisseurs apprécieront).

Novembre,
Oui, je rentre de Stockholm le coeur rempli de mélodies de The Knife et vivant au jour le jour.
En soirée, les amis qui me présentent ont toujours ce silence confus avant de prononcer la phrase miracle et fourre-tout : « Alena, c’est une artiste« .
A Paris, le statut social est important – sans quoi deux inconnus ont du mal à lancer une conversation. « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? » « Tu fais quoi dans la vie? »  « Tu fais quoi dans la vie?« . Cette farce phrase qui revient si souvent dans les conversations mondaines. En toute honnêteté, il y a quelques années j’étais carriériste – maintenant j’aime juste que le travail soit bien fait, irréprochable. Ce détachement m’a permis d’avancer, bien plus que je n’aurais pu l’espérer. La fin de mon année de liberté approchait, je n’étais pas stressée, juste perdue, d’où le titre de l’article. Je ne savais pas vraiment où je devais aller, où je me sentais réellement confortable. J’avais commencé à envoyer mes CV aux galeries d’art, rencontrer les directeurs de galeries – mais ce milieu ne m’a pas mis à l’aise. J’ai presque trouvé que c’était avant tout du business et de la poudre aux yeux. Alors je me suis orienté vers l’art plus « humain » comme les associations qui aident la réinsertion sociale par le biais de l’art. Des emplois « tremplins » comme on les appelle. Je n’ai pas sauté bien haut. Et au fond je n’étais pas du tout pressée. J’ai continué à vivre avec mes vaches maigres et mon détachement. La liberté a son prix mais elle a aussi une fin.
Pour ma part, c’est une fin heureuse : un coup de fil une après-midi, une douzaine d’heures  d’entretiens et me voilà de nouveau sur les rails de la Fashion Industry. (La #FI pour le running-gag et les intimes qui me suivent depuis longtemps.) Et là, je prends le Polaroid de ma vie actuelle (ou #selfie, faut vivre avec son temps), et je le tends à « l’artiste » détachée de Novembre 2014 et je lui demande son avis.
Avis – qui restera à la discrétion de l’individu concerné.

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Génération #instafood.

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Entre deux entretiens et dans ma vague de ma passion horlogère,  j’ai aidé un artiste « sculpteur du temps » sur le salon Belles Montres à Paris. C’est Thierry de « Passion Horlogère » qui nous a mis en relation et c’était une expérience dans le thème du post : Hors du Temps.
Je vous invite chaleureusement à découvrir les oeuvres d’Alainpers sur son site, il a une perception vraiment intéressante et enrichissante du temps.

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J’ai connu Julien il y a presque dix ans maintenant. Nous étions des inconnus, et je ne sais pourquoi je l’avais invité à l’époque me rendre visite quelques jours à Valloire lorsque j’étais serveuse en saison d’été dans cette station-village. Nos discussions étaient sans fin, et elles le sont toujours : géopolitique, sociologie, regard sur le monde… Puis on s’est toujours suivis de près ou de loin au travers des villes et du temps après notre rencontre au coeur de la Maurienne. Chambéry, Lyon et maintenant Paris.

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Toujours fidèle aux Oliver Peel sessions – qui organise des concerts intimistes en appartement.
J’en ai déjà parlé dans ma pellicule de Mars 2014 – avec  Frida Hyvönen.

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La magnétique Clara Luciani du groupe Hologram.

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The Knife à Stockholm

La première fois que j’ai entendu The Knife, c’était en avril 2007. J’étais alors en première année d’école de communication et j’effectuais mon premier stage à l’entreprise dans le département marketing à l’office de Tourisme de Méribel.
J’ai rarement la mémoire des dates – mais cet instant – je le revis à chaque fois lorsque j’y pense. En effet, je suis assez difficile dans mes préférences musicales, et il est vraiment rare qu’une musique puisse me saisir, me pétrifier et arrêter le cours du temps lorsque je l’entends. The Knife, le live d’Heartbeats (reprise de José Gonzales) m’a fait cet effet.

Méribel, au coeur des trois vallées, est une station très cosmopolite, les saisonniers sont avant tout anglophones et la langue anglaise y est presque officielle. Beaucoup d’anglais, d’australiens y viennent tous les ans et s’y retrouvent, enclavés et isolés dans une sorte de seconde résidence au coeur des alpes. A l’époque, je ne parlais pas très bien anglais, mais pour ceux qui ont vécu les « saisons », ça ne pose jamais un vrai problème. Je ne me rappelle absolument pas comment on communiquait, mais tout le monde se retrouve à droite à gauche dans les chalets et appartements de saisonnier minuscules et on finit toujours par trouver une langage commun autour d’un petit verre, une guitare ou d’une playlist.

Un soir, j’étais avec mon amie russe Maria, et nous avons atterri dans un minuscule appartement de peut-être 15m2 où 8 saisonniers vivent ensemble empilés sur 3 lits superposés et matelas par terre. L’un d’eux, Lee Dobson, un saisonnier néo-zélandais, qui enchainait l’hiver de la Nouvelle-Zélande avec l’hiver français, était en extase devant un groupe et voulait absolument nous le faire découvrir. Et il me met la chanson criminelle : celle qui va me faire adorer the Knife et m’envoyer en Stockholm 7 ans après, pour le dernier des derniers concerts du collectif à Stockholm.
Une sorte d’effet papillon lorsqu’on y pense : qui aurait pu croire qu’une simple soirée entre une dizaine de personnes qui se comprennent à peine puisse me transporter en Suède 7 ans après ? La magie du destin.

Quand j’ai appris la séparation du groupe dans l’interview de Dazed and Confused il y a 3 mois : j’étais atterrée. Et Jeremy a pris les devants et m’a envoyé le plus beau cadeau du monde : une place pour leur dernier concert, chez eux à Stockholm.


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Notre pied-à-terre Airbnb : une décoration très « lagom« , super bien situé et gigantesque.
Si vous voulez le contact – notre hôte Isabelle était formidable, je vous donnerai son mail !

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The Knife – Shaking the habitual Tour

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La gentillesse et l’hospitalité des suédois est une chose qui m’a frappé lors de notre séjour à Stockholm. La population est bien moins nombreuse que dans d’autres capitales et les gens prennent le temps au quotidien. En les observant interagir entre eux, ils ont toujours un mot gentil, une attention, du respect les uns envers les autres. Il n’y a pas de stress ambiant et même au supermarché, les caissiers prennent ne serais-ce que trente secondes pour parler à chaque client, sourire et plaisanter.
C’était vraiment agréable à voir, et lorsque nous étions concernés – nous nous sommes vraiment sentis bien accueillis.
A la sortie du concert, nous avons rencontré quelques fans, qui nous ont instantanément proposé de les suivre boire un verre dans le centre de Stockholm; nous avons fait la connaissance de Maria, Sofia et leurs bande d’amis et nous avons évidemment gardé contact.

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Maria et Sofia.

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Sur la recommandation d’Isabelle, notre hôte Airbnb, nous sommes allés déjeuner dans un restaurant végétarien (Hermans) – où tout était libre service. Un buffet quoi. Le restaurant est situé sur une falaise ce qui donne une vue magnifique sur la ville. Nous sommes restés au restaurant jusqu’à la tombée de la nuit, je recommande cet endroit à quiconque s’arrête à Stockholm

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September Issue – Simplement.

Ah Septembre ! C’est le premier mois de l’année de la mode ; on sait déjà ce que l’on va porter l’été 2015, les magazines de mode pèsent plus lourd que Guerre et Paix de Tolstoï, et le champagne est moins cher que l’eau dans les clubs : Il est gratuit.
J’ai découvert cette année que la flute de champagne c’est #old, et que désormais on le boit « en piscine » aux open bar, avec des glaçons – le tout dans des verres promotionnel. Le luxe renie le luxe.
C’est la course au look le plus excentrique et à la soirée la plus en vue. On tremble déjà en se demandant ce que Rihanna va porter – et la gent masculine espère secrètement qu’elle ne portera rien. Kim Kardashian, de front row en front row, en oublie son enfant et John Galliano présente son majeur à toute l’industrie en rejoignant la maison Margiela.
Que de changements et pas une ride supplémentaire sur le visage d’Anna Wintour, elle nous répond juste à 73 questions et pas plus.
Du coté des mortels : tout va bien. Nous sommes juste sorties entre copines chez ledit Galliano et à quelques September-Issue-Parties.
Ma partenaire minceur a été Priscilla cette année, cheveux neige et teint Milka.

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Déjeuner brainstorming avec Priscilla dans les hauteurs de Montmartre

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Night Issue party du Magazine Antidote au ZinZin – Paris 6ème

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Le #seriousbusiness n’étudie plus les fluctuations de la bourse, non.

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Loin des stroboscopes et du champagne des quartiers huppés, nous avons décidé d’installer notre Fashion Week à Belleville.
Cocktails de pois chiches et rouleaux de Spring/Summer 2015.

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La soirée Vogue Fashion Night Out à la boutique Galliano

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 Les plastiscines – Boutique Galliano

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Des individus s’exerçant à l’art du selfie

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Soirée de l’ouverture de la boutique Celio Club

My mother : a brilliant photographer

A la fin des vacances d’été en Savoie, comme tout individu qui respecte les bons plans, j’ai trouvé mon billet de train sur un site de revente de billets en ligne. Avec ma mère, nous avons pris la voiture pour aller chercher la récompense – à celui, qui a eu la chance de rester encore un peu plus dans la région avant de rejoindre le ciel gris de Paris.
Il fallait aller chercher le billet dans un village perdu après le Tunnel du chat, et nous avons pris la route. Sur le chemin, nous avons vu des décors fabuleux et nous avons décidé de faire quelques haltes pour les découvrir. Des carrières abandonnées, des grottes, des lacs, des rivières : des paysages à couper le souffle et un temps à en oublier l’existence de la carence en vitamine D. Ma mère a pris mon appareil photo argentique et a voulu me photographier comme je le fais avec les autres : de manière spontanée. On a passé un super moment à s’amuser et avec son regard de mère, elle a su saisir des instants de vraie liberté. Je n’avais qu’une pellicule dans mon appareil, mais lorsque je l’ai développée, j’ai été frappée par le talent de ma mère, son oeil, sa manière de saisir l’instant. J’étais subjuguée au point d’en oublier que j’étais la « modèle ».
Je lui ai demandé s’il elle était d’accord de publier cette série et le magazine autrichien C-Heads (avec qui j’avais collaboré pour cette série) m’a répondu dans la demi-heure très enthousiaste à coups de : « wonderful « , « such a good idea », « we love it » !
J’étais tellement fière !

Ci-dessous, quelques photos non-publiées et quelques unes de la série.
La série est disponible sur ce lien : http://www.c-heads.com/2014/09/16/c-heads-exclusive-alena-gaponova-a-photographer-shot-by-her-mother/

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Photographies par Olga Molodova

Pellicule Juillet 2014 – Paris, Savoie.

J’ai passé la majeure partie de l’été à Paris, avec deux aller-retour chez ma mère en Savoie. Petit budget oblige. Mais j’ai apprécié le calme et les rues vides de Paris aux mille éclats. Des ballades, quelques sorties, mais surtout du vagabondage, du piano, de la lecture et des projets photo.

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Un petit tour à la tête dans les nuages pour changer des habitudes avec Max.

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Un rendez-vous avec Priss, ma physio préférée de Paris, avec qui les discussions sont profondes et enrichissantes.

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Une tour Eiffel construite avec 324 chaises de bistro rouges installée à Paris Plages cette année.

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Un photographe se baladait sans gêne avec des chaussures à orteils, la pire invention avant 2000 (par Robert Fliri).

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Hôtel de Ville – 75004 Paris

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 Opéra de Paris – 75009

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Un temple dédié à David Hasselhoff, quelque-part dans une pizzeria de Paris…

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Laurent, végétarien jusqu’au bout des ongles, a décrété que la roquette sera la nouvelle chips.

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Ma magnifique maman et Jeremy, grignotant des graines de tournesol au bord du lac du Bourget

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Le Lac ayant inspiré Lamartine pour célèbre poème dédié à sa dulcinée Julie Charles, emportée par un mal incurable.
«  » Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours ! »

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Ma mère, la plus forte et la plus courageuse maman du monde. Un exemple pour moi.

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Le talentueux Vianney et l’une de ses illustrations.

Instax – Fête aux Tuileries – Juillet 2014

La Fête des Tuileries est la seconde plus grande fête foraine parisienne après la Foire du Trône, cette année elle fête ses 30 ans !
C’était une occasion d’y faire un tour et s’y amuser comme deux grands enfants. J’ai pu y gagner le gros champignon de Mario à l’attrape-nigaud le plus connu de l’histoire : Le jeu de la balle dans le seau incliné. Seau, qui a un fond bombé et qui fait ressortir n’importe quelle balle qui y rentre. J’ai trouvé une vidéo après coup, qui explique cette petite arnaque de fête foraine, mais il y a une astuce – mais il faut beaucoup d’adresse et surtout… beaucoup de chance !
Ce qui explique aussi la tête dépitée de celui qui m’a remis le lot.

 

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Pellicule oubliée – JUIN III

Une pellicule retrouvée datant probablement de début Juin 2014 avec :
– Un tour sur la péniche Kia Cabana installée sur la seine pour la coupe du monde avec Laurie et Carole
– Un cocktail avec mon paparazzi préféré Foc Kan
– Des marseillais à Paris
– Une exposition d’eaux-fortes d’Isabelle – une amie d’Antonin, le poète.
– Le concert de Callas Tebaldi aux Saint-Pères avec Max
– Et enfin, la présentation du concours Talents Nomades de Fujifilm à la Cartonnerie.

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São Paulo, Paris sur Seine.

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Avec Foc Kan préféré.

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Carole et Laurie, des attachées-presse d’une valeur inestimable.

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Camille et Antonin à l’exposition d’eaux-fortes d’Isabelle.

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 Au concert d’Octave et son groupe Callas Tebaldi

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Un Brunch au Blackburn Coffee, vers le Slendid à Paris : une belle découverte !

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 Jeremy à la présentation du concours Talents Nomades de Fujifilm France à la Cartonnerie.

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Pellicule JUIN 2014 – Espace Morin

 Du 19 au 22 Juin, le collectif SoixanteDix & Friends a investi les 400m carré de l’Espace Morin 14 rue Vertbois dans le 3e arrondissement de Paris. L’événement était pensé autour de la photographie, et 7 jeunes artistes prometteurs ont été exposé sur les deux étages de la galerie. Pour la cloture de l’événement, Quentin Renaux, l’un des organisateurs de l’événement, m’a convié avec Antonin Veyrac (le poète avec qui j’avais exposé au 16 Tholozé) pour une performance artistique.
Antonin a déclamé sa prose, pendant que je dessinais à l’aquarelle en live. Puis d’autres jeunes penseurs sont venus lire et partager leurs écrits, avec en plus des sessions musicales de Clara Cappagli et Roxane. C’était un dimanche agréable et plusieurs de mes proches amis sont venus voir la performance. Un grand merci à eux et ceux qui nous ont permis de nous exprimer en cette belle après midi d’été.

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Mon atelier éphémère

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 La douce Camille, la copine d’Antonin

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 Quentin Renaux, du collectif SoixanteDix & Friends et organisateur de l’événement

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 Antonin et Quentin

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 Mes productions de la performance à l’aquarelle

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 Swan

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J’ai découvert le P’tit bar grace à Laurent, c’est l’un des bars les plus originaux de Paris pour moi. Il se trouve au 7 rue Richard Lenoir, dans le 11ème arrondissement de Paris. Il est tenu par Madame Paulo, qui est la tenancière depuis plus de 40 ans.
Elle  en a vu des choses dans son bar ! Elle a même servi des officiers pendant la 2nde guerre mondiale. Toujours avec son gros chat fidèle et ses canaris (qu’elle embaume quand ils la quittent pour les accrocher entre les bouteilles.) Sa fille est Erpétologue et chasse les vipères noires au fin fond de la suisse. En ce moment, son bar est un peu délaissé pour les terrasses d’été, mais je vous recommande chaleureusement d’y faire un tour et goûter un petit verre d’Avèze, l’alcool de gentiane que l’ont ne trouve QUE dans son bar à Paris.

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Parc de Belleville – Paris 20ème

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Bassin de la Villette, Paris 19ème

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 Folies Bergères, Paris 9ème

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