J’ai eu la chance d’être choisie par C-Heads Magazine pour publier un édito exclusif avec la magnifique Louise Follain. C-Heads a particulièrement apprécié la spontanéité de mes photos qui rendent la modèle naturelle, avec les contraintes de l’argentique et son grain si particulier. La série reste exclusive à C-Heads,voici ci dessous, quelques photos hors-série.
Louise et moi déjeunant au marché des Enfants Rouges.
J’ai rencontré Vieran en shootant Louise, et il a retrouvé la photo sur mon blog et m’a contacté via facebook.
Du coup, je lui ai demandé de m’écrire une courte biographie de lui.
La voici, écrite par une de ces amies :
« Vieran est une figure mythique du haut marais, déjà à l’âge de quinze ans il résidait non loin du métro Oberkampf.
Sa mère l’emmenait régulièrement au marché du carreau du Temple où il pouvait négocier les blousons de cuir, les pantalons…
Sa mère l’emmenait régulièrement au marché du carreau du Temple où il pouvait négocier les blousons de cuir, les pantalons…
Vieran habite toujours dans le quartier, il est toujours resté dans le domaine de la création (photo, peinture, sculpture…).
Celui-ci exploite le premier support de l’imaginaire collectif pour en créer d’autres. (Vieran s’est naturellement tourné vers le livre afin d’en donné un autre usage culturel).
Celui-ci exploite le premier support de l’imaginaire collectif pour en créer d’autres. (Vieran s’est naturellement tourné vers le livre afin d’en donné un autre usage culturel).
Et non sans une certaine ironie, certains libraires décorent leurs vitrines avec ces créatures décalées.
Par ailleurs, on l’a contacté pour une éventuelle vente aux enchères de ses oeuvres à Drouot.
Même la rue peut être le carrefour, le socle et le support de multiples rencontres.
Jim Morrison disait d’ailleurs » Les rues sont des champs qui en meurent jamais » JDM »
Le tumblr de Louise – La série sur C-Heads.